Si l’on pense que la science qui a aidé au Développement Socio-économique de la Planète Terre étant la fille de la Rome (<Lat. scientia, “connaissance, science”, du verbe latin scire, “savoir, connaître”), appartient donc aux païens, d’où vient ce questionnement biblique de Proverbes 30:3-4 à propos de la science du Saint ou des saints ou des choses saintes? “(…) et je n’ai pas appris la sagesse, ni ne possède la connaissance du Saint” [Darby] ou bien “(…) je n’ai pas appris la sagesse, et je ne connais pas la science des saints” [Louis SEGOND]. Qui est monté dans les cieux, et qui en est descendu? Qui a rassemblé le vent dans le creux de ses mains? Qui a serré les eaux dans un manteau? Qui a établi toutes les bornes de la terre? Quel est son nom, et quel est le nom de son Fils, si tu le connais?” La Cadoshologie (<hébr. (kādôsh) קָדוֹשׁ,“saint”, et du gr. λογία (logia), “science”) ne pourrait-elle pas être cette science des saints annoncée dans l’Ancien Testament (<hébr. (bedahath kedśîm) קְדשׁיִם וְדַעַת, “science du Saint ou des saints ou des choses saintes” ; et du lat. sanctum scientiam, “science du [de le] Saint”, [La Vulgate]; du gr. γνω̃̃σιν ‛αγίων (g-nôsin haguiôn), “connaissance ou science du [de le] Saint”, [La Septante], etc.) ? Etc.
La Peccatologie et la Cadoshologie, théories générales du Péché et de la Sainteté, procèdent par une Approche Systémique, c’est-à-dire, donnent une nouvelle définition universalisable du Péché ou de la Sainteté en faisant usage de la Théorie des Ensembles infinis. L’ensemble et les sous-ensembles sont déterminés et définis à l’avance tandis que certains éléments sont encore ni connus ni nommés. Le jour où leurs manifestations seront visibles ou bien où ils seront détectés non par visibilité de manifestation, mais par principe d’existence, ils verront qu’ils sont déjà typés à partir des catégories que sont les sous-ensembles dont les principes directeurs sont déjà préétablis. Le Grand Ensemble lui-même, le Péché par exemple est connu et défini à l’avance; un de ses sous-ensembles, la Plummédiatoduumnicité par exemple, un des principes directeurs du Péché l’est aussi; mais n’est méconnu ou inconnu qu’un élément du Grand Ensemble, à savoir, un péché ou quelque(s) péché(s) par exemple.
Par ailleurs, ne seront dits atypiques que s’ils ne se trouvent dans aucun sous-ensemble, c’est-à-dire, sous aucun des principes directeurs préétablis. C’est à ce moment-là que la science crée, le cas échéant, une nouvelle catégorie de l’objet en question pour les typer.
Les Catholiques eux-mêmes qui ont une seule tête (le Pape) sur la Terre ont des sous-groupes en leur sein (les Franciscains, les Jésuites, les Lazaristes, les Dominicains, etc.) à plus forte raison les Protestants-Evangéliques qui n’en ont pas un, ne seraient-ils pas secondairement plus diversifiés dans l’ombre que dans leur diversité primaire visible par tous ou extérieure? Par conséquent, la diversité à la fois primaire et secondaire de nature qui est le propre des Protestants-Evangéliques aura pour aboutissement logique, la diversité d’approches concernant la question fondamentale qu’est la Sainteté et le Péché. Chacun a tendance à être saint ou même à concevoir le Péché à sa manière, si étriquée soit-elle.
Au stade où nous sommes parvenus, marchons d’un même pas, dit la Bible; et même cet autre passage bien connu: “(…) jusqu’à ce que nous soyons tous parvenus à l’unité de la foi et de la connaissance du Fils de Dieu (…)”, Ép. 4:13. Le pari de l’unité de la foi ne peut être gagné qu’en reconsidérant cette notion de Sainteté et de Péché en question dans une nouvelle approche dite Approche Systémique.
En effet, l’approche systémique qui redéfinit la Sainteté et/ou le Péché en les replaçant dans un nouveau contexte de système complexe comme le fait la science appelée la Systémique, technique des systèmes complexes, aura l’avantage sur les approches pluriellement diversifiées du passé des Evangéliques. Pour ce faire, la notion de système a besoin d’être clarifiée elle-même d’abord.
Le système (<gr. συστημα (sustêma), “assemblage, composition”, de συν (sun), “avec, ensemble”, et de στέμμα, (stemma), “couronne, guirlande”) est littéralement parlant, l’assemblage ou la mise ensemble à la fois de plusieurs couronnes constituées singulièrement de cercle de feuillages et donnant finalement lieu à un tout plus complexe, rameux (branchu) et feuillu.
Un système, en terme scientifique, est un ensemble possédant une structure constituant un tout organique (organique, dans le cadre de l’organisation d’un ensemble).
Le système de lois de Sainteté et du Péché que constitue la Théorie Générale de la Sainteté (Cadoshologie) et du Péché (Peccatologie) est un système arborescent (Lat. arborescentis, “dont la forme rappelle celle d’un arbre”, de arbor,“arbre”, du verbe latin arborescere, “devenir arbre”, inchoatif de arbustare, “planter d’arbre”) parce que l’objet cité dans ce verset biblique relatif à la connaissance du Bien et du Mal est bel et bien l’arbre: ”(…) mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, (…)”, Gén. 2:17
La connaissance du Bien et du Mal est l’arborescence cadoshologique et peccatologique, système multi-complexe de lois établi par le père-fondateur de la Cadosho-Peccatologie postmoderne, instrument d’un solide assemblage pour mieux coordonner le corps de Christ en général, et mieux maîtriser l’objet-Péché en particulier, dont parle la Bible en ces termes: “C’est lui [Christ], et grâce à tous les liens de son assistance, que tout le corps, bien coordonné et formant un solide assemblage, tire son accroissement selon la force qui convient à chacune de ses parties, et s’édifie lui-même dans la charité [amour selon Dieu]”, Ép. 4:16; ” (…) le péché se couche à la porte, et ses désirs se portent vers toi: mais toi, domine sur lui“, Gén. 4:7b.
Qui dit bâtir une théorie scientifique dit, trouver des principes directeurs fixes et des lois immuables (répétion automatique). Ainsi, votre serviteur a trouvé des nouveaux moyens ou des nouveaux outils pour vous aider à maitriser aussi facilement que possible la plus dangereuse ou la plus grave entité, devant qui vous tremblez, qui fit tomber Lucifer. Le Péché est plus dangereux que Satan, le prince des démons que vous craignez.
Cet article ne dit pas que de nouvelles lois créaturales de Sainteté ou bien de nouveaux dogmes humains de Sainteté ont été érigés pour aller les imposer aux images de Dieu que vous êtes.
Il dit que le premier sens de loi relative à une règle impérative préalable aux faits qu’elle régit, exprimant un idéal, une norme, une éthique est tout à fait La Loi des loi: La Bible;
et que le second sens de loi relative à une formule générale, établie a posteriori, par l’étude des faits dont elle est la loi, c’est-à-dire, une formule énonçant une corrélation des phénomènes physiques et/ou des cryptonomènes spirituels et vérifiés [attestés] par l’expérience, est à son tour, ce qui est appélé les lois scientifiques (les sciences, bibliques ou non, comme la Cadoshologie, la Peccatologie, et bien d’autres).
L’avantage majeur de ces dernières lois réside dans leur rapport aux applications et prévisions (rétrodiction, diction et prédiction) qu’elles sont capables d’apporter comme contributions novatrices à l’Oeuvre de Dieu que la plupart des serviteurs dans le corps de Christ firent avec des outils archaïques bien avant cette période postmoderne.
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Robert-SETZER: Etats-Unis
Je dois être d’accord avec celui qui a écrit cet article. Si la science peut aider les gens à connaître la gravité du Péché, je suis entièrement pour elle. Nous avons dépensé sur ou financé beaucoup trop d’autres projets scientifiques que les gens ont trouvé nécessaires. Mais je crois que le “Péché” est une véritable entité qui fait que les gens ne sont pas en mesure de vivre une vie prospère ici-bàs. Cependant, il peut les faire rater la vie éternelle qui ne peut s’obtenir qu’à travers une vie de Sainteté par le biais de Jésus Christ.
08.11.2011
Rapture7: Etats-Unis
Si la science aide à promouvoir le salut, alors il devrait y avoir des contributions [de Chrétiens] pour financer la recherche scientifique sur le péché et la sainteté. Rachel.
13.07.2011