Financer la Recherche Scientifique sur le Péché & la Sainteté pour un Développement Durable en Spiritualité Chrétienne véritable.

C’est poussé par la curiosité (<Lat. curiositas,désir de connaître”, de l’adjectif curiosus, “curieux, avide de savoir,  qui a du souci”, de cura, souci, inquiétude”) scientifique que le vieux Continent [Europe] a financé les voyages de découvertes des zones blanches (peuples et régions non atteints) sur la cartographie du Globe terrestre. Avant la création du Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), et puis, à la Conférence de Stockholm en 1972, et même au moment de la mise sur pied de l’Organisation des Nations-Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), le souci majeur des hommes sur Terre était le développement industriel, rien que cela.

20 ans plus tard, c’est-à-dire, à la Conférence de Rio en 1992, les  soucis de l’homme ont évolué vers le duo Environnement & Développement à cause du Développement Industriel incontrôlé avec son cortège de déchirure de la couche d’ozone, réchauffement planétaire, pollutions (bruit, eau, air, sol) et  ses effets néfastes à court, moyen, long termes sur l’homme et son environnement (végétaux, animaux, minéraux). La prise en compte de la dimension environnementale fait que désormais le duo Environnement & Développement, s’appelle Développement Durable.

Depuis lors, ces 20 autres dernières années, matérialisée par la prochaine Conférence de Rio + 20, de 1992 à 2012, le souci du mieux être de la Planète Terre pousse les mêmes hommes à mettre l’accent sur la recherche scientifique (retour à la même curiosité scientifique) en vue d’un Développement Industriel respectueux l’Environnement Naturel et donc Durable. Le respect et la maîtrise  des lois de la Nature permettent aujourd’hui un Développement intégré, équilibré et durable dans le temps et l’espace. La Recherche Scientifique est devenue donc incontournable à tout développement qui se veut sérieux sur Terre si celui-ci ne veut pas être hasardeux, à tâtons, sans prévision et/ou prévenance, etc.

En effet, dans les années 1960, la Côte d’Ivoire et la Corée étaient au même niveau de Développement. Aujourd’hui, la Corée est au rang des Pays Développés (ou Industrialisés) grâce à leur indéfectible attachement à la recherche scientifique. La Corée est venue en tête des brevets d’invention (Corée: 2600 brevets/millions d’habitants; Japon: 2500 brevets/millions d’habitants; Etats-Unis: 800 brevets/millions d’habitants; etc.).

Partout où on parle de regain spiritualité des églises Chrétiennes sur la Terre, on déplorera le fait que cela se déroule dans un environnement spirituel plus ou moins de désordre, de pagaille. Les contours et les pourtours de la Sainteté et du Péché demeurent jusqu’ici encore flous, menaçant ainsi l’assurance du Salut des soi-disant déjà sauvés eux-mêmes. Le Développement spirituel se fait par hasard et demeure donc éphémère; alors que c’est l’Eglise de Jésus Christ qui a reçu un sacerdoce qui sera prolongé jusque dans l’éternité. L’éphémerie devient notre caractéristique principale à la place de la durabilité dans le temps, voire de l’éternité, supposée être la nôtre.

CURE PECHE (Centre Universitaire de Recherche, d’Expérimentation et d’enseignement en Peccatologie & Cadoshologie), Centre de Recherche sur le Péché & la Sainteté, se veut être un exemple de Recherche pour Développement Spirituel Durable. Si nous arrivions à financer  notre recherche scientifique sur le Péché et la Sainteté, nous relèverions le défi de modèle d’Institution de Développement Durable en matière de Spiritualité Chrétienne; et/ou d’église sans tache ni rides ni rien de semblable, c’est-à-dire, la maîtrise des lois ou paramètres spirituels de prévoyance/prévention consolidant ainsi l’assurance de notre Salut.